Titre en français : | Bois |
Mouvement numéro : | 3 |
Mouvement de : | Tao |
Année de composition : | 1986 |
Durée : | 12min 27s |
Instrumentation (fr) : | bande stéréo |
Instrumentation (en) : | stereo tape |
Dédicace (fr) : | À |
Dédicace (en) : | To |
Notice (fr) : | •• Imitation/développement: Chaque mouvement débute par une image-modèle dont le fonctionnement énergétique sera ensuite développé: coups itératifs d’un arbre qu’on abat, rotation sans fin d’un moulin, oscillation/balancement d’un jeu de ping-pong. •• Symbole: L’abattage et la mort d’un arbre comme symbole d’une forêt, d’une Nature réellement assassinée. «Meunier, tu dors…» et le monde tourne fou en Ton absence. •• Forme: Si la première partie maintient et dirige l’écoute de façon linéaire, la deuxième ouvre l’espace et la troisième superpose une prolifération polyphonique de matériaux en oscillation dans tous les champs perceptifs (hauteurs, durées, matières, mouvements, espaces) et se termine, après un moment immobile, par la reprise, toujours polyphonique, des deux autres modèles énergétiques. L’ensemble tente une transposition dans le temps de la morphologie de l’arbre. •• Anecdote: La porte (cliché électroacoustique depuis •• Spatialisation: Cette pièce se joue en mouvements rapides, riches, foisonnants, en brassage. Tout bouge, sauf les images. Un dispositif multiphonique relativement complexe d’un minimum de douze haut-parleurs me paraît donc indispensable. |
Notice (en) : | •• Imitation/development: Based on proliferation and brassage [‘stirring up’ in French, is a sound processing function of the {acro:syter} system], Each movement starts with an image-model whose energy flow system will later be expanded: repeated blows of a tree being felled, endless rotation of a mill, swinging/swaying of a ping pong game. •• Symbol: The felling and the death of a tree as a symbol of the forest, of Nature being truly murdered. “Miller, you are asleep…” and the world is turning crazily in Your absence. •• Form: While the first part maintains and directs listening in a linear fashion, the second opens the space and the third superimposes a polyphonic proliferation of oscillating materials in all fields of perception (registers, durations, matters, movements, spaces), and ends after a moment of stillness by taking up again the two other energy models, again in a polyphonic fashion. The whole is an attempt to transpose the tree morphology in time. •• Anecdote: The door (an electroacoustic cliché since •• Spatialization: This piece is played in fast, rich, abundant, and ‘stirred up’ movements. Everything moves, except the images. A relatively complex multiphonic device, with a minimum of twelve loudspeakers, is therefore essential. |
Date (fr) : | 1 décembre 1993 |
Date (en) : | 1 décembre 1993 |
Autres informations (fr) : | |
Autres informations (en) : |
Nom | Part | Fonction | Id éditeur | Genre |
Annette Vande Gorne | 100% | Compositrice | 1 | F |
Date : | 14 août 1986 |
Ville : | Arles |
Province ou état : | Bouches-du-Rhône |
Pays : | France |