Titre en français : | Drôles d’oiseaux |
Année de composition : | 1985-86, 2001 |
Durée : | 14min 51s |
Instrumentation (fr) : | bande stéréo |
Instrumentation (en) : | stereo tape |
Commande de (fr) : | État (Direction de la musique, France), {acro:gmeb} |
Commande de (en) : | French State (Music Office), {acro:gmeb} |
Dédicace (fr) : | À |
Dédicace (en) : | To |
Notice (fr) : | Quinze ans après sa composition, j’exhume, à titre de curiosité, cette tentative strictement électronique, unique dans ma production. En effet, invité à composer une œuvre par le Groupe de musique expérimentale de Bourges ({acro:gmeb}), j’avais décidé comme principe conducteur de me limiter à des matériologies générées par les oscillateurs et modules de synthèse analogique de haute qualité du studio Charybde et à de rares traitements. Par la suite, j’ai ajouté quelques éléments réalisés au Groupe de musique expérimentale de Marseille ({acro:gmem}) avec le premier modèle du Synclavier. Mais un propos plus poétique me guidait, celui de la forêt comme symbole féerique de notre inconscient; ce fut donc ma première incursion dans cette «forêt profonde» à laquelle je pensais déjà et où l’on retrouve quelques souvenirs de ce premier essai. Voici ce que j’en disais: «Aujourd’hui, la relativité du visible est devenue une évidence, et l’on s’accorde à n’y voir qu’un simple exemple particulier dans la totalité de l’univers qu’habitent d’innombrables vérités latentes.» — Traces d’une luxuriance et d’un exotisme oniriques, bestiaire imaginaire qui ne nie pas sa parenté avec les |
Notice (en) : | Fifteen years after I composed this purely electronic work — the only one I ever produced — I exhume it, as a curiosity. Invited to compose a work by the Groupe de musique expérimentale de Bourges ({acro:gmeb}), I decided that as a guiding principle I would limit myself to the use of material generated by oscillators and other modules of the high-quality analogue synthesizer from the Charybde studio and to very few processing. I then added a number of elements produced at the Groupe de musique expérimentale de Marseille ({acro:gmem}) with the first version of the Synclavier. But a more poetic image was guiding me, that of the forest as a magical symbol of our unconscious. This was my first foray into the “deep forest” that I had already been thinking about; in it a few reminders of that first effort can still be found. Here is what I felt about it: “Today [artists] reveal the relativity of visible things; they express their belief that the visible is only an isolated aspect in relation to the universe as a whole, and that other, invisible truths are the overriding factors.” — Here are traces of luxuriance and dream-like exoticism, a bestiary of the imagination that does not hide its kinship with |
Traducteur (en) : | |
Autres informations (fr) : | |
Autres informations (en) : | |
ID CEC : | 40182 |
ID catalogue CEC : | 10183 |
Exécutions : | 28658, 28868, 31008 |
Nom | Part | Fonction | Id éditeur | Genre |
Francis Dhomont | 100% | Compositeur | 1 | M |
Date : | 2 juin 1985 |
Ville : | Bourges |
Province ou état : | Cher |
Pays : | France |
Événement : | Festival Synthèse |