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Terminée en 1918. 1re audit. aux Concerts Pasdeloup (22 mars 1919). Le texte inspirateur est extrait des « Poèmes en prose » de Baudelaire : « Laisse-moi respirer longtemps l’odeur de tes cheveux… Si tu pouvais savoir tout ce que je vois! tout ce que je sens! tout ce que j’entends dans tes cheveux! » Le rythme de danse n’intervient ici que pour « soutenir et dramatiser » cet épanchement lyrique, telle était l’opinion de M. Boschot complétée par celle de M. Vuillermoz : « Cette pulsation de la double croche devient lentement tragique : c’est celle d’un cœur qui ne peut apaiser sa fièvre. » [GC6-205] |