Titre en français : | Venise |
Titre en allemand : | Venedig |
Instrumentation (fr) : | voix, piano |
Instrumentation (en) : | voice, piano |
Notice (fr) : | Le Cœur brisé. — Venedig. — Le Retour près de l’aimée. De ces trois mélodies, l’une, Venedig, est donnée en première audition. Le poème en est dû au philosophe Nietzsche. Très wagnérien, — c’était avant sa fameuse crise iconoclaste, — il a inspiré à M. Léo Sachs une musique parsemée d’harmonies tritanesques, dont le malheureux Nietzsche — mort fou, d’ailleurs, — aurait probablement apprécié l’allure « Surhomme ». Voici le texte, traduction Nicolas Deniker : « Sur le pont j’étais seul dans la sombre nuit, écoutant de doux chants. L’or des gouttes perlait dans les flots dont l’éclair reluit. Barques, flammes, chansons! Ivres, vers l’Occident s’envolaient. Et mon âme, un luth vibrant, chante dans ses sens troublés, des gondoliers, les fiers accents. Brûlant de transports juvéniles, Eros, l’écoutait-il. » [GC3-495] |
Nom | Part | Fonction | Id éditeur | Genre |
Léo Sachs | Compositeur | M |