(Voir aux « Tablettes biographiques ».)

Ces morceaux, le second surtout, sont conçus dans une forme orchestrale et ne visent donc pas directement à mettre en valeur l’instrument soliste. Le Lamento, donné en première audition, est en fa mineur et comprend, dans son milieu, un Agitato chaleureux particulièrement expressif. Quant au chant élégiaque, qui, lui, date de quelques années, c’est un mouvement écrit en la mineur sans modulation. Une phrase très caractéristique s’y développe copieusement au violoncelle, puis est chantée par les premiers violons pour atteindre un crescendo vibrant.

[GC3-252]