| Titre en français : | Le Chant des Genêts |
| Année de composition : | 1910 |
| Instrumentation (fr) : | piano |
| Instrumentation (en) : | piano |
| Notice (fr) : | Le Chant des genêts (édit. mutuelle) comporte cinq parties et fut composé en décembre 1910. C’est une série de rapides impressions. L’Entrée des Binious est vive, délurée, avec une pointe de canaillerie gouailleuse. ― Vers le soir semble un léger pastel évoquant des crépuscules calmes et profonds. ― Dans Autour d’un conte, une vieille en coiffe marmonne à un auditeur attentif la dernière légende, simple, mystérieuse, parfois terrible. On y trouve l’émotion anxieuse des auditeurs qui suivent péripéties du Conte et leur joie finale lorsque la conteuse leur apprend que le héros a triomphé de toutes les embuches! ― Pour bercer. L’enfant va dormir. La chanson calme de sa mère lui fermera les paupières. Rêve naïf, irréel, où défilent des choses trop belles pour qu’on ose en parler. Enfin, c’est la joie toute physique de la Ronde avec ses cris, ses gambades, ses bousculades. [GC2-336] Le Chant des Genêts (Édit. Mutuelle) comporte cinq parties et fut composé en décembre 1910. C’est une série de rapides impressions. L’Entrée de binious est vive, délurée avec une pointe de canaillerie gouailleuse. — Vers le soir évoque des crépuscules calmes et profonds. — Dans Autour d’un conte, une vieille en coiffe marmonne à un auditoire attentif la dernière légende, simple, mystérieuse, parfois terrible. On y devine l’émotion anxieuse des auditeurs qui suivent les péripéties du conte et leur joie finale lorsque la conteuse leur apprend que le héros a triomphé de toutes les embûches. — Pour bercer. L’enfant va dormir. La chanson calme de sa mère lui fermera les paupières. Rêves naïfs, irréels, où défilent des choses trop belles pour qu’on ose en parler. — Enfin, la Ronde avec ses cris, ses gambades, ses bousculades. [GC3-79] |
| Nom | Part | Fonction | Id éditeur | Genre |
| Paul Le Flem | Compositeur | M |