Titre en français : |
Saturation du marché |
Année de composition : |
2000
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Durée : |
3min
34s
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Notice (fr) : |
Le rapport entre le marché et le consommateur en est un bien inégal. En effet, est-ce que le marché continue d’être à l’écoute du consommateur maintenant qu’il le domine? Et si le consommateur en avait (sans le savoir…) assez? Pourrait-il alors empêcher l’envahissement de sa vie par le Grand Vendeur? Ce ne sont pas des questions auxquelles je peux répondre, mais l’engourdissement intellectuel qui gagne du terrain dans notre société m’inquiète. C’est ce que tente d’évoquer cette pièce. Plusieurs pistes de guitare traitée sont rejointes par une piste d’ocarina (cadeau d’un ami sur mon répondeur…) alors que survient une soudaine envie de danser (la batterie), mais… tel le cerveau d’un consommateur, on perd pied. Mais c’est pas si mal, après tout, et l’engourdissement … (le remote-control?) |
Notice (en) : |
The balance between the market and the consumer is an unequal one. Now that the market dominates the consumer, is it still listening to him? And what if the consumer had enough (without realizing it)? Could he prevent the Great Salesman from invading his life? I cannot answer these questions, but the intellectual numbness that is spreading in our society worries me. That’s what this piece attempts to express. Many tracks of treated guitar are joined by a track of ocarina (a gift left by a friend on my answering machine…) as a sudden urge to dance arises (the drums), but… like the consumer’s brain, we skip a beat. Then again, it’s not so bad, this numbness… (the remote control?) |
Traducteur (en) : |
François Couture |
Date (en) : |
1 juin 2003 |
Autres informations (fr) : |
Enregistré à la Maison Brune, Laval, en octobre 2000. Prise de son, mixage: Doctor et Martin W Roy. Merci à Merci au {acro:calq}, à Chezz, Papa Sucreah et Réhell |