| Titre en français : | Poème |
| Numéro de catalogue : | op 38 |
| Année de composition : | 1909-10 |
| Instrumentation (fr) : | orgue, orchestre |
| Instrumentation (en) : | organ, orchestra |
| Notice (fr) : | Terminé en mai 1910 et encore inédit, ce poème de caractère assez mystique met aux prises deux thèmes essentiels qui symbolisent : l’un, le principe religieux, l’autre le principe païen. Les trois parties que comporte cette œuvre s’enchaînent sans interruption. Et, au point de vue de la forme, il faut dire qu’elle ne ressemble point à celle du classique concerto, car l’orgue n’intervient que dans l’ensemble polyphonique et jamais en soliste. I. — Dans le prélude dont la tonalité initiale est fa dièze majeur, le principe religieux est assez longuement commenté ; puis, l’orgue expose, en voix céleste, un thème de trente-deux mesures coupé par une rentrée d’instruments à vent. La conclusion de ce morceau s’opère sur une variation du principe religieux. II. — Le principe païen, exposé à son tour, n’est qu’une variation en do mineur du principe religieux. Mais sa présentation entraîne des éléments nouveaux : les très délicates arabesques de l’orgue et des petits bois. Un «pont» harmonique ramène enfin le principe religieux qui éclate resplendissant au grand jeu de l’orgue. III. — Dans le Finale, les deux principes générateurs de l’œuvre se trouvent en présence, ils luttent, ils fusionnent et le triomphe du principe religieux s’affirme définitivement dans sa tonalité initiale, en fa dièze majeur. [GC2-25] |
| Exécution : | 328769 |
| Nom | Part | Fonction | Id éditeur | Genre |
| Charles Tournemire | 100% | Compositeur | M |