Notice (fr) : |
Dans son choral pour orgue sur le chant de louange Quel bel éclat a l’étoile du matin, le compositeur germano-danois Dietrich Buxtehude fait montre d’une imagination toujours renouvelée. Il faut noter l’ampleur du développement des trois premières phrases musicales du cantique, jouées à la basse, puis au soprano, et de la dernière, une longue gamme descendante apparaissant huit fois en tout. Une fugue à quatre voix, écrite dans l’esprit d’une gigue, conclut le morceau. Buxtehude y introduit tour à tour chacune des phrases du cantique et fait appel à d’amusants effets d’échos. |