Titre en anglais : | Surface |
Année de composition : | 2007 |
Durée : | 15min 22s |
Instrumentation (fr) : | bande 7.1 pistes |
Instrumentation (en) : | 7.1-track tape |
Notice (fr) : |
Dans, Puisque la technologie augmente les possibilités de la pratique compositionnelle, particulièrement dans la dimension spatiale, j’ai voulu savoir quelle est la meilleure manière de composer des sons à l’intérieur d’une spatialisation 7.1. Mes environnements sonores plausibles se veulent immersifs (ils remplissent l’espace spectral et physique), avec des sons auxquels sont assignés des traits de comportement spatial indiquant une activité collaborative de groupe (des idées fondées librement sur les travaux de J’avais pour théorie (si on peut l’appeler ainsi) que la perception d’un environnement plausible peut susciter une impression intemporelle, quelque chose qui perdurera une fois l’écoute terminée. Mieux encore: il est possible de ré-imaginer l’environnement au moment voulu. Il n’existe ni thèmes ni sections, que de courtes pauses, et très peu de forme «imposée»; plutôt une sensation d’immersion dans un monde sonore sombre et inquiétant (dans le cas présent). J’ai tenté, cependant, de donner à cet environnement un air «naturel». On peut s’imaginer dans une lagune, avec de l’eau jusqu’aux genoux, au moment où la brume se dissipe au petit matin. Des éléments sont obscurcis, cachés par la brume ou sous l’eau. Ils approchent furtivement. Et l’observateur n’est pas toujours immobile; il lui arrive de se déplacer, ce qui transforme la perspective sur l’environnement dans son ensemble. |
Notice (en) : |
In As technology further enhances compositional practice, particularly in the spatial dimension, I wished to investigate how best to compose sounds within the 7.1 surround sound domain. My plausible sonic environments aimed to be immersive (filling the spectral and physical space), with sounds being given spatial behavioural characteristics so as to indicate collaborative group activity (ideas loosely informed by My theory then (if it can be so called) was that the perception of a plausible environment can lead to a timeless impression — something which might remain after the work has finished. Better still; we can re-imagine the environment in our own time. There are no themes or sections — only brief pauses — and very little ‘imposed’ form; more a sense of immersion into (on this occasion) a dark and foreboding ‘world’ of sound. Nevertheless, I tried to give this environment a ‘natural’ feel. One could imagine standing knee deep in a lagoon as the mist clears in the early morning. Elements are obscured: they may be clouded by mist, or under water. They may approach by stealth. But the observer is not stationary all of the time and there are moments when the listener moves — changing the perspective of the whole environment. |
Traducteur (fr) : | |
Date (fr) : | 11 juin 2011 |
Date (en) : | 11 juin 2011 |
Autres informations (fr) : | |
Autres informations (en) : |
Nom | Part | Fonction | Id éditeur | Genre |
Adrian Moore | 100% | Compositeur | 1 | M |
Date : | 8 novembre 2008 |
Lieu : | Reid Concert Hall |
Ville : | Édimbourg |
Province ou état : | Écosse |
Pays : | Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord |
Événement : | Soundings… |