Notice (fr) : |
Cette fois encore tout a commencé par le texte, par ce qu’on appelle la musique de la langue, des langues mêlées, qui se font écho, se répondent. Le temps passe, nous passons notre temps à la perdre… Il y avait un rythme quasi obsessionnel dans le texte, qui s’imposait de plus en plus au fil des lectures publiques. À tel point que m’est venue l’envie de briser ce rythme trop évident. L’idée d’un carillon, devenu fou et qui sonnerait à sa guise, qui soulignerait le texte ou au contraire lui serait un contrepoint s’est dessinée: ne restait plus qu’à travailler en studio. |