Nom de famille usuel : | Lee |
Prénom usuel : | Pui Ming |
Nom usuel en français est ordre asiatique : | Oui |
Genre : | Féminin |
Fonction : |
Compositrice Interprète |
Instrument (fr) : | Piano |
Instrument (en) : | Piano |
Date de naissance : | 1956 |
Ville de naissance : | Hong Kong |
Pays de naissance : | Chine |
Résidences en date du : | 1 mars 2004 |
Ville de résidence : | Toronto |
Province ou état de résidence : | Ontario |
Pays de naissance : | Canada |
Âge : | environ 68 ans |
Site web : | http://www.leepuiming.com/ |
Site actuellecd : | Oui |
Site Production Supermusique : | lee_pu |
Bio en français : | La musique de Lee Pui Ming se veut au-delà des frontières des genres musicaux. Elle veut transcender la multiplicité des styles, les niches et les tiroirs qui piègent la musique en cherchant à l’étiqueter et à la définir. Lee Pui Ming a l’habitude d’être décrite comme indéfinissable. Critiques, présentateurs et public lui demandent souvent: «Mais quel genre de musique faites-vous ? Classique, Jazz, ethno ou folk?» Lee Pui Ming pourrait répondre oui à chacun et à tous de ces genres musicaux car ils ont tous contribué à ses compositions et improvisations. «Ce qu’elle joue?»: De la musique européenne, nord-américaine, asiatique, de la plus contemporaine à la plus traditionnelle, de la musique parfois composée et la plus souvent improvisée. Dans sa musique Pui Ming utilise son corps, sa voix et son piano de façon parfois étrange avec des résultats qui bousculent toutes les idées reçues sur ce que la musique est, ou supposée être. Lee Pui Ming joue ses propres créations et mets au service de son extraordinaire talent et courage créatif, sa voix, ses mains et son esprit. Elle est déterminée à faire son chemin dans le monde musical. Lee Pui Ming est née à Hong Kong en 1956, la fille d’une professeure de voix qui enseignait la chanson Pop Chinoise. À trois ans, elle commence à étudier le piano et en 1976 quitte Hong Kong pour étudier aux États Unies où elle obtient son bac, sa maîtrise et travaille à son doctorat. C’est là qu’elle découvre le Jazz. Herbie Hancock et McCoy Tyner viennent rejoindre Prokoviev et Bartok parmi les musiciens qui l’influencent le plus. Cependant, très vite, Pui Ming décide qu’elle préfère composer sa musique plutôt que d’interpréter celle des autres. En 1985 Pui Ming s’installe à Toronto où toutes les musiques qui l’habitent sont vivantes. La chanson traditionnelle et la musique Pop Chinoise au son desquelles, elle a grandi, côtoient la musique classique européenne qu’elle a passé une bonne partie de sa vie à étudier et le jazz qu’elle écoute de plus en plus. Enfin elle trouve la confiance et se donne la liberté de mettre sur son clavier ce qu’elle ressent dans son cœur. En 1991, elle enregistre et publie son premier disque «Ming», sa carrière est lancée. Depuis ce début, les années qui se sont succédé ont été très riches. Aussi bien à Toronto qu’à Vancouver, Winnipeg et Montréal elle a rejoint les rangs des rebelles de la musique. Elle a conquis des publics aux festivals de Whitehorse et Halifax, de Zurich et Berlin, des publics qui ont bien voulu ouvrir leurs oreilles à ces sons inusités et étranges, qui défient les frontières. C’est à Vancouver que Pui Ming rencontre l’Ensemble de Musique Chinoise de Vancouver et le percussionniste Sal Ferreras avec lesquels elle fait une tournée et enregistre un album qui est sélectionné pour un prix Juno. En 1999, elle voyage dans toute la Chine pour étudier, composer et enregistrer avec des maîtres de la musique chinoise traditionnelle. Le résultat, Taklamakan, qui remporte un grand succès critique et se classe dans les meilleurs 10 albums de 1999 selon la revue Georgia Straight de Vancouver. À Toronto, elle joue avec le percussionniste Mark Duggan et le violoniste David Prentice. Elle compose pour et joue avec, le Quartet Forty Fingers Saxophone. Elle est adoptée par la communauté de la musique contemporaine de Montréal. Elle y travaille avec des artistes célèbres comme Jean Derome, Pierre Tanguay et René Lussier. Récemment Pui Ming participe à des performances avec la saxophoniste et vocaliste, Joane Hétu. En 2002, Pui Ming lance un autre CD, une série d’improvisations, principalement pour piano solo, voix et objets divers. «Who’s playing» est paru sous le label Ambiances Magnétiques de Montréal et a reçu un accueil enthousiaste aussi bien au Canada qu’à l’étranger. Le critique français Luc Bouquet le résume ainsi:«Une révélation ni plus ni moins!». L’année 2002 aura été une année bien remplie pour Pui Ming. En février elle lance Who’s Playing par un concert à Toronto. En mars elle part en tournée dans l’Ouest du Canada pour donner une série de concerts dans des petites localités du Manitoba et de l’Alberta. En avril Pui Ming crée «Hundun», une création subventionnée par le Conseil des Arts de l’Ontario, de Toronto et la Fondation Laidlaw. «Hundun» est, à ce jour, le projet le plus ambitieux de Pui Ming. «Hundun» s’inspire d’une vieille légende chinoise et s’exécute avec 8 musiciens et des danseurs. La pièce est présentée trois fois à Toronto en mai, et au Festival de Jazz de Guelph en septembre. En mai encore, Pui Ming donne un récital lors du Festival de Musique créative de Jonquière, au Québec et lors de l’événement Canvas«+» à Montréal. Au mois de juin, Pui Ming retourne à Montréal où elle se produit lors du premier Festival Off Jazz. En octobre, elle présente pour la première fois son solo de Zheng, à Vancouver dans le cadre du Festival de Musique Nouvelle, où elle donne aussi, un solo de piano. En 2003 Pui ming a été subventionnée par le Festival Can Asian de Toronto, pour lequel, elle a composé et joué un morceau. Elle a, ensuite, donné un concert de musique écrite et improvisée pour Quartet à Toronto. Cette performance a été suivie par une tournée triomphale de 9 villes du Sasklatchewan qui était patronnée par le Conseil des Arts du Saskatchewan. Le reste de L’année 2003 a été très occupé pour Pui Ming qui a composé des morceaux de musique pour le groupe de Danse Kokoro de Vancouver et le groupe musical l’Ensemble Evergreen Gamelan Club de Toronto. En 2004 Pui Ming a pour la première fois composé des pièces musicales sur commande, de la virtuose de l’erhu, Chen Jiebing de San Francisco et de l’Orchestre Chinois de Hong-Kong. En automne Pui Ming donnera des concerts de musique improvisée dans le cadre de la Série «SuddenListen», de Halifax. Elle y sera accompagnée par Norm Adams au violoncelle et Erin Donavan aux percussions. Elle exécutera d’autres concerts de musique improvisée à Montréal avec la complicité de Jean Derome (saxo et flûte) et Joane Hetu ( saxo et voix). Enfin, Pui Ming présentera aussi des performances dans le cadre de CAPACOA et CINARS. |
Date de la bio en français : | 1 décembre 2004 |
Bio en anglais : | Lee Pui Ming’s music is about going beyond boundaries. It is about transcending the myriad genres, niches, and pigeonholes that trap music and seek to name it and tame it. Lee Pui Ming is accustomed to being defined as indefinable. Critics, presenters and audiences often ask: What kind of music do you play? Is it classical, jazz, world music, folk music? Lee Pui Ming could simply answer — Yes! For all these styles have contributed to her compositions and improvisations. What does she play? European, North American, and Asian music from the most traditional to the most contemporary; music that is sometimes composed and often improvised; music that uses the voice, body and piano in unorthodox ways that challenge preconceptions about what music should be. Lee Pui Ming plays music of her own creation that is filtered through the mind, hands, and voice of an uncommonly fearless artist determined to make her very own way in the musical world. Lee Pui Ming was born in Hong Kong in 1956. Her mother was a voice teacher who taught popular Chinese songs. At the age of three she started to study piano. In 1976 she left Hong Kong for music studies in the United States, acquiring a Bachelors, Masters, and most of a Doctorate. There she discovered jazz. McCoy Tyner and Herbie Hancock joined Prokofiev and Bartok in her galaxy of influences. But as she grew musically, Pui Ming decided she wanted to make her own music rather than reading the scores of others. In 1985 Pui Ming came to Toronto and a new life as a composer, teacher, and performer. In Toronto all the music in her head came together—Chinese traditional and pop music she had heard growing up, the European classical music she had spent almost her entire life studying, and the jazz she had been listening to more and more of. She finally found the freedom and confidence to play on the keyboard what she felt in her heart. In 1991 she released her first recording, Ming. She was launched. The years since that debut have been good ones. In Toronto, Winnipeg, Montréal, and Vancouver, Pui Ming found other experimenters, other refugees from the predictable. She also found audiences at festivals and concerts, from Whitehorse and Halifax to Berlin and Zurich—audiences who "got it", who were prepared to open their ears to something unusual and special, music that defies all borders. In Vancouver she met the Vancouver Chinese Music Ensemble and percussionist Sal Ferreras, with whom she toured and recorded, winning a JUNO nomination for their recording. In 1999 she made a long journey to different regions of China where she studied, composed and recorded with Chinese traditional artists. The result, Taklamakan, won rave reviews, including the "Top Ten of 1999" list of Vancouver’s Georgia Straight. In Toronto she has performed with percussionist Mark Duggan and violinist David Prentice, and composed for and played with Forty Fingers Saxophone Quartet. Montréal’s musique actuelle community has embraced her. She has worked with luminaries including Jean Derome, Pierre Tanguay, and Rene Lussier and recently has collaborated on a number of performance projects with saxophonist/vocalist Joane Hétu. In 2002, Pui Ming released her latest CD, a series of improvisations, mainly for solo piano, voice and miscellaneous objects. who’s playing was released on Montréal’s Ambiances Magnétiques label and is finding a rapturous reception both at home and abroad. “Une révélation—ni plus, ni moins!” (A revelation—no more, no less!) is how one reviewer from France summed it up. The same year, in February, she presented her CD launch concert in Toronto before heading west to play a series of solo concerts in small Manitoba and Alberta communities in March. April was taken up with the creation of "Hundun". It marks the most ambitious project Pui Ming has yet undertaken. Based on an ancient Chinese legend, "Hundun" features eight musicians and dancers. "Hundun" played for three nights in Toronto in May and was performed at the Guelph Jazz Festival in September. In May, Pui Ming also performed at the Musiques de creation festival in Jonquiere, Québec, and at the Canvas«+» event in Montréal. In June she returned to Montréal to perform at the first Off Jazz festival and in October her commission for solo zheng was premiered at Vancouver’s New Music Festival where Pui Ming gave her own solo piano concert as well. In 2003, Pui Ming composed the music and performed in a commission from the CanAsian Dance Festival (Toronto). Shortly after, she gave a concert of composed and improvised quartet music in Toronto before heading off for a successful nine-town tour of Saskatchewan that was sponsored by the Organization of Saskatchewan Arts Councils. The rest of the year, she was busy fulfilling commissions from Kokoro Dance (Vancouver) and The Evergreen Club Gamelan Ensemble (Toronto). 2004 saw the premieres of commissions from erhu virtuoso Chen Jiebing (San Francisco) and The Hong Kong Chinese Orchestra. In the fall, Pui Ming will be performing improvised music concerts at the “suddenListen” series in Halifax with Norm Adams (cello) and Erin Donovan (percussion) and in Montréal with Jean Derome (sax/flute) and Joane Hetu (sax and voice). She will also be showcasing in CAPACOA and CINARS. |
Date de la bio en anglais : | 1 décembre 2004 |
1 : | Greetings |
2 : | Juices |
3 : | Steps |
4 : | Silica |
5 : | Bones |
6 : | Sinews |
7 : | Torso |
8 : | Belly of the Beast |
9 : | Uvula |
10 : | On Your Feet |
11 : | Shepherdess |
12 : | What’s Up |
13 : | C’est bon! |
14 : | The Yan-Min Suite |
15 : | Xun Song |
16 : | Strange Beauty |
17 : | The Swing |
18 : | Piano Percussion |
19 : | For “Ma” |
20 : | Danse Extravaganza |
21 : | The Grande Love Song |
22 : | Tale of Three Snakes |
23 : | Three Kingdoms |
24 : | Nine-Fold Heart |
25 : | The Monkey King Suite |
26 : | March of the Monkeys |
27 : | The Monkey King |
28 : | Monkey King Charges the High Heavens |
29 : | Monkey King Triumphs |
30 : | “Why Don’t We Eat Noodles?” |
31 : | Song to the Land I |
32 : | Song to the Land II |
33 : | Ushak Mukham |
34 : | To Life |
35 : | Happy |
36 : | Xia He |
37 : | Taklamakan |
38 : | Tongues |
39 : | There’s No Place |
40 : | For Dad |
41 : | Trio |
42 : | Septuor |