Nom de famille usuel : | Cartier |
Prénom usuel : | Pierre |
Genre : | Masculin |
Fonction : |
Compositeur Interprète Auteur / Parolier |
Instruments (fr) : | Basse, contrebasse, voix |
Instruments (en) : | Bass, double bass, voice |
Membre des ensembles : | Jean Derome et les Dangereux Zhoms, Évidence |
Date de naissance : | 1953 |
Ville de naissance : | Montréal |
Province ou état de naissance : | Québec |
Pays de naissance : | Canada |
Résidences en date du : | 1 mars 2004 |
Ville de résidence : | Saint-Eustache |
Province ou état de résidence : | Québec |
Pays de naissance : | Canada |
Âge : | environ 71 ans |
Site actuellecd : | Vedette |
Site Production Supermusique : | cartier_pi |
Bio en français : | La musique de Pierre Cartier est le lieu de convergence de plusieurs démarches qu’il poursuit depuis le tout début de sa carrière. D’abord contrebassiste de formation classique, spécialiste en musique ancienne sur instruments originaux, c’est son désir de jouer la musique comme on parle sa langue maternelle, avec liberté, naturel et intelligence, qui le mène de la musique symphonique aux musiques baroque et contemporaine; et du jazz (notamment Monk) aux problématiques fécondes de l’improvisation. En 1987, il fonde son propre ensemble et, autour de ses compositions instrumentales, développe une intégration très personnelle des langages musicaux. Cependant, c’est par le chant, voix et texte réunis, que cette intégration deviendra véritablement organique, une mobilisation à la fois de l’esprit et du cœur. La découverte de ses affinités profondes avec les chants sacrés anciens, particulièrement le chant grégorien et les polyphonies médiévales, accompagne la composition de sa première œuvre pour voix Chansons de Douve, un cérémonial grave et majestueux qui se déploie autour des poèmes d’Yves Bonnefoy. Dis, Blaise… chanson du Transsibérien met en musique le long poème que Blaise Cendrars publiait en 1913: Prose du Transsibérien et de la Petite Jeanne de France. Ce voyage musical, à la fois de douleur et de lumière, marque une étape déterminante dans sa carrière, puisqu’il y chante le poème intégralement, tout en s’accompagnant à la contrebasse. Chansons de la belle espérance est son tout dernier spectacle: une suite de sept chansons de jazz actuel sur des textes de poètes québécois. Ces chansons, à la manière des standards de jazz, jettent un regard à la fois lyrique et critique sur le thème éternel de l’amour. Pierre Cartier est membre du groupe de musique actuelle Jean Derome et les Dangereux Zhoms, du groupe Évidence (musique de Thelonious Monk), du Studio de musique ancienne de Montréal, de la Schola St-Grégoire, de l’ensemble Strauss-Lanner. |
Date de la bio en français : | 1 octobre 2005 |
Bio en anglais : | Pierre Cartier’s music is the convergence of the multiple approaches he has pursued since the very start of his career. A classically trained double bass player, a specialist in baroque music on original instruments, Pierre Cartier wishes to play music as one speaks one’s mother tongue—that is, with freedom, fluidity, and intelligence—passing from symphonic music to baroque and contemporary music, and from the jazz of Thelonious Monk to the fertile grounds of improvisation. He founded his own ensemble in 1987 and, centred on his own instrumental compositions, develops a very personal integration of musical idioms. However, it is in vocal music, when voice and text mobilize both the spirit and the heart, that this integration is at its most organic. The discovery of his deep affinity for ancient sacred song, particularly Gregorian Chant and primitive polyphony, accompanied the composition of his first vocal work Chansons de Douve, a solemn and majestic ceremonial created around the poems of Yves Bonnefoy. Chansons de la belle espérance is his most recent show: seven jazz songs on texts by Québec poets. These songs, in the manner of jazz standards, shed both a lyrical and critical light on the timeless theme of love. Pierre Cartier is a member of the new music group Jean Derome et les Dangereux Zhoms, of the group Évidence (music of Thelonious Monk), of the Studio de musique ancienne de Montréal, the Schola St-Grégoire, and the Strauss-Lanner ensemble. |
Date de la bio en anglais : | 1 octobre 2005 |
1 : | Tautologie |
2 : | Thème pour Maurice B. |
3 : | Signaux de fumée |
4 : | Elisabeth |
5 : | Les fleurs du tapis |
6 : | Kimm |
7 : | Tortue marine |
8 : | Vendredi 10 |
9 : | Je te voyais |
10 : | Présence exacte |
11 : | Que saisir sinon |
12 : | Le seul témoin 1 |
13 : | Le seul témoin 2 |
14 : | Vrai nom |
15 : | Vrai corps |
16 : | Douve parle (passacaille) |
17 : | Une voix |
18 : | Mais que se taise |
19 : | Je prendrai dans mes mains |
20 : | Ainsi marchons-nous |
21 : | Vrai lieu (chant de la compassion) |
22 : | Lieu de la salamandre |
23 : | En ce temps-là (prologue) |
24 : | Moi, le mauvais poète |
25 : | Du fond de mon cœur |
26 : | Mon berceau |
27 : | «Dis, Blaise…» |
28 : | Samowar |
29 : | Mots doux |
30 : | Les heures |
31 : | Si j’étais peintre |
32 : | J’ai vu |
33 : | Dernière station |
34 : | Ô Paris (épilogue) |
35 : | Dédicace de la belle espérance |
36 : | Plus belle que les larmes |
37 : | Il nous aurait fallu |
38 : | La chanson de Marie |
39 : | Portrait |
40 : | Figure d’éternité |
41 : | Mirabeau |
42 : | exige mon serment |